Une manifestation pour demander aux autorités gouvernementales une éducation gratuite et de qualité a rassemblé 150 000 personnes, selon les organisateurs, alors que l’impasse persiste.
La deuxième édition de 100 et 1 mots pour l'éducation aux droits de l'homme est maintenant disponible en ligne
C'est ce que nous apprend une étude réalisée par des chercheurs canadiens. Les résultats de cette recherche indiquent que les personnes ayant reçu des fessées ont entre 2 % et 7 % de chances supplémentaires de présenter des pathologies mentales une fois adultes.
« La justice allemande a estimé que la circoncision d'un enfant pour des motifs religieux était une blessure corporelle passible d'une condamnation, suscitant un tollé des communautés juives et musulmanes qui y voient une atteinte à la liberté religieuse. »
Selon l'Organisation pour la coopérations et le développement économiques (OCDE) « les politiques d’éducation qui mettent l’accent sur l’équité peuvent constituer, à terme, un moyen efficace d’accroître la mobilité des revenus entre les générations et de réduire les inégalités de revenus. » (1) Peut-on encore y croire ?
Depuis des mois, des milliers de jeunes (et de moins jeunes) manifestent sous différentes formes leur inquiétude face à l’avenir de notre société ; c’est une inquiétude profonde qui dépasse largement le problème des droits de scolarité. Les « indignés », les casseroles et des mouvements tels qu’Occupy Wall Street s’inscrivent dans le même contexte.
Le Fonds des Nations Unies pour l'enfance (’UNICEF) vient de faire paraître son plus récent rapport sur l’état de pauvreté et des privations dont sont victimes les enfants au sein des économies avancées. Dans les 35 pays étudiés, plus de 30 millions d’enfants vivent dans l’indigence.
Depuis plusieurs semaines déjà, lycéens et étudiants québécois poursuivent leur lutte commune contre la décision du gouvernement libéral de hausser les frais de scolarité dans les établissements d’enseignement supérieur.
Un rapport de la Cour des comptes montre que l'État donne plus à ceux qui on déjà plus et moins à ceux et celles qui auraient pourtant le plus besoin. Un favoritisme qui s'accroît et qui tend à suggérer que la République est de plus en plus celle des mieux nantis. Un constat qui, à la veille des élections présidentielles, fait figure de sanction.
Depuis qu'il a été condamné, le 17 février, à 1 000 euros d'amende avec sursis pour avoir giflé un adolescent de son village qui escaladait un grillage, Maurice Boisart, 63 ans, maire de Cousolre (Nord), a reçu plus de mille cinq cents messages de soutien.